Pagină în construcție!

Dans ce bâtiment Avram Iancu avait son siège pendant la révolution de 1848. C’est ici qu’on a ouvert le musée d’histoire, le 30 mai 1989, à l’anniversaire de 150 ans après les luttes héroïques des monts Apuseni. Ouverture du Musée : de lundi à vendredi entre 7h30 et 15h30. Dans la première salle il y a des documents photocopiés qui présentent l'histoire ancienne de ces terres, une partie intégrante de l'histoire de notre pays. Dans la deuxième salle le thème principal est la formation des États féodaux roumains qui représentait un épisode important pour l'affirmation et la préservation de l'identité nationale roumaine. La troisième salle est consacrée à Mihai Viteazul (Michel le Brave) et à la réalisation de la première union des trois pays roumains. Ensuite, on arrive au XVIIIe siècle qui achève la période médiévale - la conquête par les Habsbourg du Principauté de Transylvanie, suivie par le resserrement de la domination étrangère qui a mené à la révolte de Horea, Cloşca et Crişan (1784). La quatrième salle peut être considérée comme l'espace central du Musée de Câmpeni. C’est ici qu’on trouve des objets, des images, des documents, des textes expliquant les événements de la révolution des monts Apuseni de 1848-1849 et la personnalité la plus marquante de ces événements, Avram Iancu. On y trouve également le testament d'Avram Iancu, le Jubilé de 1924 (quand on a célébré 100 ans de la naissance du Héros local) et la maquette de la statue "Craiul Munților" représentant Avram Iancu, réalisée par C-tin D. Bărbat. Cette salle abrite des outils de travail pour le traitement des fibres animales et végétales, des objets ménagers, la maquette du canon en bois de cerisier et un coin ethnographique avec des objets traditionnels. La Ville de Câmpeni, par son mérite et son sacrifice, pourrait recevoir le titre de «Musée historique et Panthéon du peuple romain», d’après les affirmations de l'historien Vasile Nitea . C’est d'ici qu’ a commencé la révolte paysanne de Câmpeni. Ici aussi se trouve la cave-prison de Horea où des événements sanglants se sont passés en 1782. Cette cave, qui a surmontée les siècles rappelle les souffrances et les injustes que les moți ont connues. A l'intérieur, on peut voir la "Porte" datant de cette époque-là, aujourd'hui objet de musée, huit vitrines où sont exposés des objets historiques et des documents liés à la révolte. En arrière-plan domine une belle et impressionnante fresque murale représentant HOREA, CLOŞCA et CRIŞAN. Cette cave, dès l'automne 1996, a été nommée «Le Musée de HOREA», un musée où de nouvelles générations de jeunes apprennent l'histoire sanglante des moți. Une plaque commémorative, « Cette maison a servi comme siège du quartier général d'Avram Iancu, le préfet de la Légion Auraria Gemina, en 1848-1849.
Cette cave, qui a surmontée les siècles rappelle les souffrances et les injustes que les moți ont connues. A l'intérieur, on peut voir la "Porte" datant de cette époque-là, aujourd'hui objet de musée, huit vitrines où sont exposés des objets historiques et des documents liés à la révolte. En arrière-plan domine une belle et impressionnante fresque murale représentant HOREA, CLOŞCA et CRIŞAN.
L'idée d'honorer la mémoire d'Avram Iancu, en lui dressant un monument, est devenue possible seulement après le 1er décembre 1918, et l'histoire de cette statue est aussi «troublée» que celle du «Craiului Munților Apuseni». La statue équestre a été érigée pour la première fois à Târgu Mureş, sa réalisation étant confiée au comité d'initiative, dirigé par le maire Emil Dandea et ensuite confiée au sculpteur Dimitriu Bârlad. La statue a été achevée les premiers mois de l'année 1927, et le 10 mai 1930, elle a été inaugurée devant une grande foule de personnes. En septembre 1940, le préfet du comté de Turda, Emil Crişan, et le Dr. Motora de Câmpeni ont pris les mesures nécessaires pour obtenir la statue de la Mairie de Târgu-Mureş. Ensuite, elle été amenée à Câmpeni, en cet automne-là, où elle a été placée sur un socle de pierre préparée à l'avance. Nulle part la mémoire d'Avram Iancu, Horea, Cloşca et Crişan n'est plus vive, plus forte que dans le Pays des Moți, pays de pierre et de troubles.
Le chemin de fer étroit de la Vallée d'Arieşului a été construit au début des années 1900. Mocănita, le petit train, circulait auparavant entre Turda et Abrud, ayant 21 stations et une vitesse qui ne dépassait pas 40 km/h. Pendant 75 ans, elle a été utilisé à la fois pour le transport de passagers et de marchandises, comme pour le bois exploité en Apuseni. Mais la voie ferrée a été fermée à la fin des années 90, sous prétexte qu’elle n'était pas profitable. Dès lors, le chemin de fer a été laissée à l’abandon, et, sur de nombreuses sections, les chemins de fer ont été volés et vendues pour la ferraille. Le chemin de fer étroit du secteur Abrud-Vidolm dans le département d'Alba a été inclus dans la liste des monuments historiques de Roumanie depuis l'année 2006. La route entière de Mocăniţa, près de 100 kilomètres, a été déclarée monument historique. Sur le tronçon Abrud-Câmpeni, qui était en bonne condition, la circulation a été reprise, au but touristique, par un investisseur autrichien. Georg Hocevar vit depuis 15 ans en Roumanie et dirige l'Association pour la préservation des chemins de fer étroits de Roumanie. Deux wagons tirés par une petite locomotive à vapeur, à savoir la fameuse Mocăniţa, circulent de temps en temps, sur moins de 10 kilomètres entre Câmpeni et Abrud.
Dans les Monts Apuseni, sur la vallée Valea Bistrii, dans la Ville de Câmpeni, se trouve le Monastère Valea Bistrii (protection des Saints Ilie Iorest et Sava Brancovici, saints célébrés le 24 avril). Elle appartient au Doyenné de Câmpeni, Archidiocèse Orthodoxe d’ Alba Iulia. Ce lieu sacré est moins connu par la plupart des croyants de chez nous et d'autres parties du pays parce qu'il a été récemment construit, mais aussi parce qu'il est situé dans un endroit moins visible et plus difficile à l’accès en voiture dans les conditions météorologiques défavorables. Au début, la monastère a fonctionné comme une chapelle de sœurs, mais le 28 septembre 2012, par l’approbation du Sinod Metropolitan d’Ardeal, la chapelle a été érigée au rang de monastère par Irineu Pop, l'archevêque orthodoxe d’Alba Iulia. L'histoire de la chapelle commence il n'y a pas longtemps, dans l'année 1998, lorsque la famille Gheorghe Precup et Aurelia a fait un don d'un petit terrain de leur propriété pour la construire. Sa pierre angulaire a été placée en 1999, lorsqu’Andrei Andreicuţ, Archevêque d’ Alba Iulia, a sanctifié la place pour l’édification de l’église et a déclaré comme un jour de fête de l’église le 24 avril. Pour y arriver de la direction de Campeni, sur la route de DN 75, on doit prendre à gauche sur DC 141 et après environ 200 mètres, on aperçoit le panneau indiquant l'accès à la monastère. Une fois y arrivé, on a l’impression d’ être dans un autre monde, entouré de paix, plus proche de Dieu, un monde qui ressemble au paradis dessiné par les enfants. À l'intérieur de la monastère, les visiteurs et les pieux peuvent découvrir la petite église construite en bois et recouverte de bardeaux, et le potager soigneusement entretenu avec beaucoup de patience et d'attention.
La construction actuelle en pierre et en brique préserve le style architectural traditionnel transylvanien. Dans ce cimetière situé derrière l'église, les tribuns d’Avram Iancu, le prêtre Iosiv Gomboş, Nicolae Corches et Mihail Andreica reposent pour toujours.
C'est un monument de la foi et de la vie spirituelle pour les habitants d'aujourd'hui de la capitale du pays des Moți: la ville de Câmpeni. La construction de l'église orthodoxe actuelle Câmpeni Vale a commencé en 1906 et a pris fin le 1er mars 1911. L'église a été construite par Moldovan Avram originaire de la ville d'Abrud, dans le style des églises de Transylvanie sous la forme d'un navire. Les murs sont en pierre et en brique d’une grande épaisseur.
L'église en forme de croix a une longueur de 26 m, aux absides 14 m et 8,60 aux Naos. L'église a été érigée avec les dons des fidèles et l’appui des étudiants et des soldats de Unité Militaire de Câmpeni. Les travaux ont commencé en 1996, quand ils on a excavé plus d'un millier de m3 de terre pour la fondation et le sous-sol. En 1997, le mur en et en béton pierre a été érigé. Au printemps de 1999, l'église en bois de sapin fut érigée. Les cloches ont été réalisés à Baia Mare et donnés par la famille Danciu Nicolae et ses fils. Les portes, les meubles, le sanctuaire et la voile du sanctuaire sont faits en bois de chêne sculpté par des artisans de Humulesti-Neamţ.
Le monument est une croix-mémoriale et est situé à côté de l'Église Orthodoxe dans la ville de Câmpeni. La Croix a été érigée en 1922, à l'honneur des héros tombés dans la Guerre d'Indépendance, étant faite en chêne et en marbre. Sur la façade du monument c’est écrit: «A la mémoire des héros pendant la révolte paysanne de 1907 et à ceux tombés sur le champ de bataille pendant la guerre d'indépendance de 1877.»
Se trouve dans la Cour du Collège National "Avram Iancu" Câmpeni.
Quelque part sur une colline près du barrage de Mihoieşti, une belle église orthodoxe est dressée vers le ciel, attirant le regard de tout passant qui traverse la Vallée d’ Arieş. L'église a été construite par le labeur du prêtre Onuţ Mirişan. Par son style architectural et la cloche de 2 tonnes, emportée d'Allemagne, l'église est unique dans les Monts Apuseni.
Parmi les vaillants habitants de Campeni qui ont participé à la révolution de 1848 à 1849, avec Avram Iancu ont été les tribunes et les préfets:
  • » Clemente Aiudean (1820-1913).
Il est né dans la maison du prêtre Gabriel de Câmpeni. Il a fréquenté les écoles à Aiud, Zlatna et Sibiu. C'était un brave fils de ces montagnes. Clemente l'Aiudean, le défenseur audacieux de la vallée d'Arieş, a poursuivi son travail en tant qu'enseignant. Il est mort en 1913.
  • » Mihai Andreica (1827-1902)
Propriétaire à Câmpeni. Brave dans les batailles, courageux et clément avec les vaincus, il s’ est particulièrement distingué dans les batailles de mai, juin 1844 pour défendre les Monts Apuseni. Après la mort de Joan Buteanu, on lui a confié la mission de préfet de Zarandului. » Nicolae Corcheş (1810-1885) Surnommé "le beau", ingénieur et peintre, né à Câmpeni était un tribune dans l'armée d'Avram Iancu. Il a participé à presque toutes les batailles qui ont eu lieu dans les Monts Apuseni. Son acte le plus important d'armes a été la bataille de Fântânele du 6 juillet 1849, anéantissant l'armée dirigée par le célèbre Paul Vasvori.